Bordel. S’enfiler la Rentrée Littéraire, quelle tannée. Oui, une putain de tannée. Comprenez-bien : pour les libraires comme pour les autres métiers de prescription, il est vital que la lecture reste un plaisir. On n’ouvre pas un livre par obligation, au risque que la lecture devienne progressivement une punition. Ou du travail, si vous préférez. Car ensuite viennent la panne, le manque d’envie, la culpabilité et tout ça. La lecture n’est pas censée être un crève-cul. Et pourtant, chaque année, les libraires partent pour leur rare session de vacances avec une valise remplie de livres choisis sur des critères ridiculement aléatoires...
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