Depuis deux jours, la plupart d’entre vous aura remarqué qu’on vit une période des plus fastes qu’on ait jamais connues. Pour peu qu’on considère l’océan de mèmes comme un accomplissement de l’espèce humaine, bien sûr. Les autres, ceux qui sont plus sceptiques à ce sujet, ont juste pris dans la tronche une misérable claque visuelle à base de gifs et de mèches décolorées. Ben, c’est comme ça. Peut être que Dédé le philosophe de comptoir a raison : face à la perte progressive d’identité que nous offre le virtuel, il y a le Japon dont la population décline parce que les jeunes hommes ne bandent plus que pour des mangas...
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