Nous y voilà. « Enfin », « déjà », que dire à propos de cet énième évènement éditorial sans queue ni tête, ni aucune utilité commerciale qu’est la sacro-sainte Rentrée Littéraire ? Que celui qui, la première fois, a décrété que tabasser le lecteur d’environ 600 titres différents en à peine plus de deux mois répondait à une augmentation notable du pouvoir d’achat saisonnière et régulière soit fessé en public, et que ceux qui ont approuvé regardent attentivement avant d’y passer à leur tour...
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