Il y a des romans écrits au premier degré, qu’ils soient bon ou mauvais. Il y en a toujours. Du roman nombriliste rédigé comme un C.V. blindé au Petit Robert pour prétendre à un siège tout doux de l’Académie française, jusqu’au thriller rutilant devenant film avant même qu’il ne soit livre, une sacrée part de fiction est écrite au premier degré. C’est normal, c’est le propre de la fiction lorsqu’il faut qu’elle nous transporte. Je veux dire, comment le ferait-elle si ce n’était pas le cas ? Comment accorder notre confiance aveugle au récit ? Ensuite, de temps à autre, on trouve une parodie. Un truc délirant...
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