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Je ne sais pas vous, mais un bon nanar de temps en temps, ça me fait un bien fou. Franchement, n'allez pas me dire que vous n'êtes pas émus devant la photo de Sean Connery en tournage pour Zardoz, en cuissardes improbables et en couche à cartouchières moule-bite. Je n'irai pas jusqu'à me proclamer connaisseur, je suis tout au plus un amateur occasionnel et lecteur de nanarland pour la même raison que beaucoup d'autres, j'ai envie de me marrer. C'est hilarant, bon sang, non ? De voir des pantins en mousse hurler à la mort en tombant d'une falaise ? De suivre des intrigues philosophico-religieuses déclinées jusqu’à vous filer la gerbe de rire, ça aussi, c'est excellent ! Et puis ces répliques, bon sang...
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Avertissement : ceci est une critique loin d’être objective, putain. Enfin, comment peut-on ne pas l’être avec Irvine Welsh ? Qui peut me citer une autre série de fresques sociales contemporaines de la même densité que la trilogie Trainspotting ? Et vous feriez mieux de les lire tous avant de me répondre Vernon Subutex, petits malins. En l’espace d’un seul roman, Irvine Welsh avait déjà crée un univers tellement énorme qu’on aurait pu penser qu’il commençait à le dépasser... Lire la suite Aujourd’hui, nous partons pour un plat pays bien connu pour son accent rigolo, ses frites et ses héros. Un pays qu’on aime railler mais dont l’inverse nous fait moins rire, un pays qui a très vite compris ce que la bande dessinée pouvait représenter comme potentiel universel. Toute une école qui a crée les plus grands, qu’ils soient blonds à houppettes, roux à uniformes, bleus à bonnets, tout ce qu’on voudra. Une école classique, donc, dont les enfants suivent toujours les exploits... Lire la suite Il y a des romans écrits au premier degré, qu’ils soient bon ou mauvais. Il y en a toujours. Du roman nombriliste rédigé comme un C.V. blindé au Petit Robert pour prétendre à un siège tout doux de l’Académie française, jusqu’au thriller rutilant devenant film avant même qu’il ne soit livre, une sacrée part de fiction est écrite au premier degré. C’est normal, c’est le propre de la fiction lorsqu’il faut qu’elle nous transporte. Je veux dire, comment le ferait-elle si ce n’était pas le cas ? Comment accorder notre confiance aveugle au récit ? Ensuite, de temps à autre, on trouve une parodie. Un truc délirant.. Lire la suite |
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Janvier 2017
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